Le Costume en Cravate, dit de travail, est surement le plus concret des costumes en cravate. En effet, le costume de Mireille, est celui pour aller aux champs, ou travailler. Qui dit travaille, dit mouvement, et à l'époque, duretée et efforts. Les femme doivent faire des mouvement pénibles et fatiguants, elles n'ont pas de temps à perdre à replacer les éplingles qui tomberaient d'un fichu, ou à laver tout les jours un costume trop clair.
Lorsque qu'une femme ( à partir de 12ans à peu près ) s'habille en costume de Cravate "campagnard", il faut bien qu'elle s'imagine les conditions de travail d'une femme au XIX° siècle, et au début du XX°!
Elles mettaient une eso simple, ou un caraco, ou un chemisier (surment pas blanc),... n'importe quoi mais surment pas de fichu par dessus ( à préciser que les manches doivent être longues!!! il y a une possibilitée qu'elles soient de 3 quarts, de demi, et encore à la rigeur d'un quart mais il doit y en avoir). Il n'y avait pas de dentelles, celà va de soit.
La jupe était forcément de fond couleur, et on peut imaginer que c'était les jupes à cordon, qui arrivaient au niveau de la cheville. Au pieds, espadrilles, sabots, chaussures à petits talons, bottes,...(les talons hauts ne sont pas de circonstance!!!)
Les dessous étaient de couleur, ainsi que les bas tricotés, que l'on peut remplacer par des collants en coton.
Le tablier doit etre large et arriver sur les hanches. Il servait à s'essuyer les mains et à protéger la jupe. Il est simple, en tissus grossier et sans fantaisies.
La coiffe sera à fond blanc, avec des minuscules motifs en pattes de mouches. Elles porteront un mouchoir de tête (triangle faisaint dessus de coiffe et cravate en même temps). Il n'y aura aucuns bijoux.
Ce costume peut se porter aujourd'hui lors d'une Pégoulado, d'un feu de la Saint Jean, d'une fete Votive,...
Le costume de Mireille, tel que nous le connaissons maintenant était la coiffe du matin, lorsque la maitresse de maison, netoyait son intérieur, ou qu'elle faisait la cuisine. Bref, c'est un costume d'intérieur. L'eso noir, et le devant destomac, ainsi que le fichu croisé serons plus d'occasion.
La maitresse du mas, avec son clavier qui portera les clefs, peut aller au champs, diriger les travaux habillée ainsi.
C'est également le costume des bonnes. Là le fichu blanc, et la pelote sont plus compréhenssibles.
Les artisanes, ou les femmes qui tiennent un commerce revêtrons ce costume. Le tablier serra travaillé, le fichu et le devant d'estomac également. La jupe sera longue, et il y aura un clavier avec des ciseaux, surtout pour une couturière. La coiffe peut à la rigeur redevenir entièrement blanche et avec une très fine dentelle.
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